"Cuisine japonaise au début de la rue de tous les commerces de Bordeaux, la fameuse Sainte Catherine, Nobi Nobi est un coin de rue, conçu pour manger dans la rue, aux tables qui l'entourent. Il y a beaucoup plus de restaurants orientaux dans cette dernière ou première section de la rue, lorsque vous entrez, mais Nobi Nobi, attire l'attention sur les grands bols noirs regorgeant de nouilles et leurs propriétaires immergés dans la tâche de les guider vers leur bouche en forme de "o" chiquitita ... et par l'arôme délicieux qui flotte et vous accroche par les narines, sans vous laisser avancer ... En entrant, vous trouvez la cuisine en vue et ses ouvriers travaillant dur pour remplir les mille commandes et un comptoir, avec une fille très sympa, qui parlait anglais, Dieu merci, car le français n'est pas mon fort, à qui nous avons passé notre commande : Tori Yakisoba, Ika Yakisoba et Guydon... ou ce qui est pareil, des nouilles à la marinée poulet sauté au wok, nouilles aux calamars sautés au wok et boeuf sauté aux 4 sauces avec riz. A boire un bubble tea à la mangue et aux perles de fruits, un mélange de thé, eau, lait en poudre et quelques boules fourrées de purée de fruits, un délice ! Euh ! Y penser me met l'eau à la bouche ! Vous payez la facture et la fille vous donne un signal rouge rond, qui commencera à clignoter et à sonner lorsque la commande sera prête, pour que vous veniez la récupérer. Les nouilles et le riz étaient délicieux avec la bonne sauce, ni nageant dedans, ni rare, le poulet mariné à la saveur orientale caractéristique et le calmar moelleux. Le bol de bœuf avec du riz, avait de la citronnelle qui lui donnait ces touches thaïlandaises si savoureuses, en général tous très savoureux, rapides et les 3 plats plus le thé et une bouteille d'eau 33,90 €, ce qui, pour les normes françaises, est assez bon prix, pas cher j'oserais dire, nous étions 2 donc à 16,95€ la tête Bref, bonne bouffe, semi fast food, bonnes portions, personnel très sympathique et si je devais trouver un point négatif, ce serait ça Cette odeur fulgurante qui vous incite à entrer et à consommer, a également le même effet, sur la légion de mouches vertes qui étaient assises avec nous à table et que nous devions tenir à distance à cause des magazines et du tapage, une méthode dissuasive pour une partie de les locaux, pour contrer ce problème, auraient ravi les convives."