Mont-Blanc
L'indigo Café

L'indigo Café

148 Avenue Pierre Mendès, 13008 Marseille 8, France

Salade • Mexicain • Terrasse • Consommation Sur Place


"J'ai été très déçu par la soirée que j'ai passée. Après une attente extrêmement longue pour être servi (1 heure), j'ai eu la désagréable surprise de constater que nous avons été arnaqués de 19 € ! Au moment de partir (en tant que dernier à partir), j'ai annoncé le contenu de ma commande et on m'a répondu qu'il fallait payer pour un aperitif et une salade. Ah bon, vous êtes sûr ? Oui, il nous faut ajouter 19 €. En consultant mes collègues, on m'a dit qu'il s'agissait d'une commande d'un ami. Nous allons régler sa part et quitter le restaurant. J'ai contacté mon ami qui m'a dit de payer et de m'envoyer une photo du ticket. Nous retournons au restaurant pour expliquer l'erreur : mon ami avait été encaissé par un deuxième serveur qui n'avait pas validé ça sur la facture finale. Le premier serveur, en se basant sur cette liste, ne savait pas qu'on nous avait fait payer deux fois. L’histoire aurait dû être simple. Et la sténographie qu'on nous a donnée, c'est que même si cela fait 19 €, cela serait la faute d'un autre client qui n'aurait pas payé et que le serveur aurait donné un nom de boisson et de plat au hasard ! Je réponds que cela correspond exactement à ce que mon ami a payé et que cela a été encaissé par l'autre serveur et que cela n’était pas replié sur la liste, d'où l'absence. Je n'ai pas eu de réponse, mais on m'a dit que j'avais 18 ans et que j'aurais dû le couper plus facilement, pouvez-vous imaginer à quel point c'est difficile pour le serveur ? ... J'ai été serveuse, c'est l'une des difficultés inhérentes au métier. Ensuite, nous demandons à voir les notes de carte bleue : on nous sort un argument disant qu'il n'y a pas d'erreur et que le recalcul prendrait trop de temps et n'est pas possible ! Donc non seulement le serveur mélange les commandes, ce n'est pas un drame, mais en plus, on se moque de nous parce que nous avons 18 ans et on refuse un remboursement auquel nous avons droit. Je ne remettrai plus jamais les pieds chez ce voleur !"