"Souvent vous avez des petits bistrots pleins de charme, qui vous font rêver et parfois, des horreurs vous guettent au virage : alors le Bistrot, la Brasserie (des grands noms qui ne disent rien) et dont il faut se méfier à la première lecture de la carte, n'a aucune importance !Ce 16 novembre 2015, jour du discours d’Hollande au Congrès, j’ai commis une erreur fatale d’entrer dans un restaurant du 15ème de Paris, à Balard : la malchance, que dire, l’HORREUR me tendait les mains !L’établissement s’appelle «La Grenouille bleue» au 48 rue Balard, vous ne pouvez vous tromper : SAUVER – VOUS ! Sinon, vous ressortirez avec l’estomac à l’envers !Pourtant, tout était annoncé à l’avance : sur les Avis de Paris-resto, il n’y avait qu’un seul avis en un an, inaccessible ! Les deux zigomars, plus culottés que cuisiniers avaient bloqué le système ! Très malins ces deux-là !Bizarrement sur TRIPADVISOR, il y avait un mauvais avis sur deux, espacés de plusieurs mois : méfiance dans un tel cas !Il faut regarder les photographies publiées ; et là, plus de bizarrerie ! On y voit une salade avec des pommes de terres mal coupées, jetées pèle-mêle (certainement la nouvelle cuisine) avec deux énormes boules de mayonnaise rancies(elles sont jaunes sur les photos et pas fraîches): n’avalez pas, vous aurez une intoxication ! Il n’y avait aucune photo de plat construit !Mon grief ce jour fut de me faire avaler un Osso-bucco, plat du jour conseillé par le Patron: nous sommes arrivés à dix, et dans ce cas là, les patrons sont heureux et se frottent les mains, heureux de travailler, et bien ce ne fut pas le cas des ostrogoths ! Ils allaient profiter de l’aubaine pour nous servir un met infecte : un Osso-bucco pour 10 €uros, baignant dans une sauce fadasse à l’eau, dans laquelle ils avaient dû jeter un peu de lait pour créer le trouble : plus c’est sale, moins ça se voit, d’autant que les OS étaient si charnus qu’il n’y avait rien à gratter ! Pour soigner le plat, ils avaient des boites de carottes et petits pois en conserves, des réserves, ce qui fait que les 10 convives sont ressortis l’estomac à l’envers! Jamais un tel plat n’est servi avec des carottes et des petits pois, ce qui fait dire que les Sieurs Eric et Biagio doivent être d’anciens cuisiniers d’Alcatraz !Puis ce fut l’Apothéose : l’un des patrons se gonflant la poitrine comme VALLS à l’Assemblée nationale, allait hausser la voix contre l'homme qui avait eu tort d’envoyer ces consommateurs dans son restaurant ! Voyons, il n’avait pas réservé !Il a raison, parce que ces convives, qui ont des réunions permanentes pendant une semaine, ne remettront les pieds dans ce «boui-boui» infâme, qui frise l’escroquerie ! Alors à tout bon entendant, JE DECONSEILLE ce boui-boui de «Grenouille bleue», au risque de devenir VERT à la sortie ! Les deux patrons vont devoir passer les diplômes de cuisiniers !"
